À qui la faute ?
Force est de se rendre à l’évidence : la réforme de l’orthographe de 1990, dont Bernard Cerquiglini fut l’un des maîtres d’œuvre, n’a pas rencontré le succès escompté. Pourquoi d’ailleurs aurait-elle réussi là où toutes les autres ont échoué ? Car elles furent nombreuses, les tentatives de (…)
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